Taille 13,7 cm sur 3,8 cm sur 1,5 cm.
Poids de l’Orthocèras 100 grammes.
Les orthocèras sont des fossiles fascinants et impressionnants pour commencer une collection. Leur forme distinctive et leur histoire ancienne en font des pièces de collection recherchées.
En plus d’être esthétiquement attrayants, ils offrent également un aperçu captivant de la vie marine préhistorique.
Que ce soit pour leur beauté visuelle ou pour leur importance scientifique, un orthocèras serait un excellent ajout à toute collection de fossiles.
L’orthoceras, un trésor fossilisé des profondeurs marines, révèle un chapitre fascinant de l’histoire de notre planète.
Ces mollusques céphalopodes ont prospéré pendant l’ère du Paléozoïque, depuis l’Ordovicien il y a environ 470 millions d’années jusqu’à la fin du Permien, avant de disparaître lors de la grande extinction.
Imposants et majestueux, les plus grands orthocèras atteignaient une longueur impressionnante de onze mètres. Leur présence était répandue, avec une distribution géographique étendue à travers les océans anciens de notre monde.
Appartenant à la sous-classe Nautiloidea, ces créatures marines étaient dotées d’une coquille externe, offrant une diversité extraordinaire dans leurs formes et leurs structures.
En tant que prédateurs dominants de l’ère géologique du Paléozoïque, les orthocères régnaient en maîtres des océans anciens, participant activement à l’équilibre écologique de leur époque.
Leurs habitudes de vie et leur comportement restent en grande partie mystérieux, alimentant les spéculations et les théories sur leur mode de vie et leurs interactions au sein de leur écosystème marin.
Les orthocères sont principalement trouvés dans les régions du Sahara marocain, notamment dans des zones comme Erfoud, Alnif, et Tazzarine.
Ces régions sont riches en fossiles marins datant du Paléozoïque, offrant aux chercheurs et aux collectionneurs une opportunité unique d’étudier et de découvrir ces merveilles de l’histoire ancienne de la Terre.
La vie des orthocères, ces anciens mollusques céphalopodes, reste en grande partie un mystère pour les scientifiques. Cependant, certaines hypothèses basées sur des études fossilisées suggèrent qu’ils étaient des prédateurs actifs dans les océans de l’ère du Paléozoïque.
Leur structure corporelle fusiforme et leurs tentacules préhensiles indiquent qu’ils étaient probablement des chasseurs agiles, se nourrissant de petits organismes marins (ammonite et d’autres mollusque) et peut-être même de poissons.
Leurs coquilles externes leur offraient une protection contre les prédateurs et pouvaient également jouer un rôle dans leur flottabilité et leur mouvement dans l’eau.
Bien que de nombreux détails de leur mode de vie demeurent inconnus, les orthocères étaient sans aucun doute des acteurs importants dans les écosystèmes marins anciens, contribuant à l’équilibre écologique de leur époque.
Le plus grand spécimen d’orthocère jamais découvert a été trouvé dans la région du Sahara marocain, plus précisément dans la zone d’Erfoud.
Cette région est célèbre pour ses vastes gisements de fossiles marins datant du Paléozoïque, où les chercheurs ont découvert une variété impressionnante de spécimens, dont certains sont remarquablement grands.
Le spécimen d’orthocère géant découvert à Erfoud mesurait environ onze mètres de longueur, ce qui en fait l’un des plus grands spécimens de cette espèce jamais trouvé.
Cette découverte a permis aux scientifiques d’en apprendre davantage sur la taille et la morphologie de ces anciens prédateurs marins.
Il est courant de ne trouver que la coquille ou la carapace des orthocères fossiles plutôt que leur corps mou. Cela est dû à la nature de leur anatomie et au processus de fossilisation.
Les orthocères étaient des mollusques céphalopodes avec une coquille externe en forme de cône allongé. Lorsque ces animaux mouraient, leur corps mou se décomposait rapidement dans l’environnement marin, laissant souvent derrière eux uniquement leur coquille.
Les coquilles, étant composées de matériaux durs comme le carbonate de calcium, ont plus de chances de se fossiliser et de survivre à des millions d’années dans les roches sédimentaires.
De plus, les conditions spécifiques requises pour la fossilisation peuvent ne pas toujours être réunies pour préserver le corps mou.
Il faut souvent des conditions particulières de sédimentation rapide et de préservation pour que les tissus mous se fossilisent, ce qui est moins fréquent que la fossilisation des coquilles.
C’est pourquoi il est plus courant de trouver des fossiles d’orthocères sous forme de coquilles ou de carapaces, plutôt que de trouver des spécimens complets incluant le corps mou.
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