Ammonite sciée de Madagascar

Ensemble de deux pièces correspondant au même fossile d’ammonite.

Dimensions de l’ensemble fermé 11,6 cm sur 9,4 cm sur 3 cm.

Poids 342 grammes.

Pierre fracturé lors de son extraction et recollé au revers sur l’une des moitiés.

Une pièce unique. Photos contractuelles.

Paléontologie, tout savoir sur le fossile d’ammonite

Les ammonites sont en réalité représentative d’une grande famille de mollusques marins très variés.

Comme pour la plupart des fossiles, on ne peut utiliser des morceaux fossilisés retrouvées pour tenter de les identifier et de trouver une hypothèse sur leurs mode de vie.

Par exemple une ammonite de type “Cadicône” ne devait pas être très bonne nageuse, par conséquent elle devait vivre près du fond marin sans être un prédateur actif, par conclusion cet espace devait être nécrophage ou détritivore.

Une ammonite de type “Involute oxycône” devrait quand à elle, être une excellente prédatrice et une très bonne nageuse. Leurs identification peuvent être complexe car il existe une multitudes d’espace avec de multiples particularité.

La carapace des ammonites est de type “aragonitique”ce qui veut dire quelle est formé de carbonate de calcium de formule “CaCO3” et constitué de symétrie orthorhombique.

Cette coquille est constituée d’un seul élément que l’on dit “univalve” elle se différencie par sa position externe. Cette coquille  a une fonction de flottaison, ce qui permet a l’ammonite de se protéger contres les attaques des prédateurs qui abonde dans les océans.

La partie que l’on retrouve fossilisée est la coquille étant le principal élément du corps de l’ammonite, la phylogénie de ces animaux est principalement en concordance avec laa description de ce mollusque.

Parfois ont retrouvent des éléments prénommes “aptychii” du pluriel, qui correspond à un type d’organe semblant jouer le rôle de mandibules a cette espèce, il très ressemblant à l’opercule des nautiles encore existant de nos jours.

Les coquilles des ammonites comprennent plusieurs compartiments coupés par des petites cloisons bien distincte. Il est possible de voir la cavité d’habitation où vie l’animal le reste des parties correspondent au loge vide de la crapace.

L’espacé de liaison entre les différentes loges ce forme au travers d’un anneaux percé dans chaque cloison c’est la ou passe le siphon de l’animal quand il est en position horizontal.

La totalité des loges mise part la loge d’habitation sont vides ou remplies de gaz comme pour les nautiles vivant a notre époque. Ses loges avaient pour tache de servir de ballast (comme pour les sous marin) qui les expulsait ou au expulsait l’eau selon la façon dont l’animal souhaitait soit pour descendre ou soit pour monter dans les different niveaux de l’eau.

Les parties molles du mollusque non pas subit le processus de fossilisation, cela implique que l’on manque de d’informations permettant de reconstituer exactement les different modes d’alimentation, de vie, mais aussi de reproduction de ces animaux.

L’on  peut néanmoins penser que la majorité des ammonites ont vécu dans les eaux profondes et peu profondes des oceans, plutôt que dans les fonds mers.

Cela explique que les fossiles sont régulièrement découvert dans les roches qui se sont formées dans des caractéristiques où il n’y avait pas de vie sur les ces anciens fonds marins.

Beaucoup d’espèces comme l’ammonite “Oxynoticeras” qui est considérées comme une excellente nageuses grâce à sa coquille aux caractéristiques hydrodynamiques, mais d’autres espèces n’avaient pas cette chance pour ce mouvoir rapidement.

Il ce peut que certaines espèces dériver en nageant très lentement vers leurs nourriture qui devaient ce composer principalement petits poissons de crustacés et de zooplancton.

Ces animaux se déplaçaient certainement en contrôlant leur trajectoire ainsi que leur profondeur grâce aux différentes loges de leur coquille hydrodynamique.

Les ammonites ce propulsées la tête en arrière comme les pieuvre et les orthoceras pour avancer rapidement.

Leurs méthodes de propulsion consisté à aspirer de l’eau pour l’expirer brutalement. Cette méthode de déplacement qui n’est pas très rapide les rendait très vulnérables face à leurs prédateurs comme les dinosaures marins qui sont principalement l’elasmosaure et le mosasaure.

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