Taille du nodule de Shattuckite 2,6 cm sur 2 cm sur 1,2 cm.
Poids du nodule avec support 20 grammes.
Une pièce de collection Unique, Photos Contractuelles.
Perchée à la croisée des mondes, entre matière et mystère, la shattuckite du Congo incarne un minéral d’une beauté saisissante.
Aussi rare qu’envoûtante, cette pierre bleue, souvent confondue avec la chrysocolle, cache dans ses fibres un monde insoupçonné d’histoires, d’énergie et de science.
C’est une gemme de contraste : profondément terrestre dans sa composition, et presque éthérée dans son énergie. Un véritable paradoxe minéral.
La shattuckite doit son nom à la mine de Shattuck, située à Bisbee, en Arizona (États-Unis), où elle fut identifiée pour la première fois en 1915.
Cependant, c’est en République démocratique du Congo, dans la région minière du Katanga, que la pierre gagne ses lettres de noblesse.
La shattuckite y est trouvée dans les zones d’oxydation des gisements de cuivre, souvent en association avec d’autres minéraux secondaires tels que :
En minéralogie, la shattuckite est un silicate de cuivre secondaire, formé dans les zones d’oxydation des gisements cuprifères. Sa teinte bleue vibrante, souvent fibreuse ou massive, trahit immédiatement sa proximité chimique et géologique avec d’autres minéraux riches en cuivre.
Parmi ces compagnons fréquents, on retrouve tout d’abord la chrysocolle, un phyllosilicate hydraté, qui se présente sous forme de croûtes ou de masses botryoïdales dans les mêmes poches d’altération.
D’un bleu-vert tendre, elle partage avec la shattuckite des contextes de formation similaires, notamment dans les environnements riches en silice et soumis à des circulations hydrothermales modérées.
La malachite, avec sa formule Cu₂CO₃(OH)₂, est une autre associée classique. Ce carbonate de cuivre se forme dans les mêmes gisements par précipitation à partir de solutions chargées en cuivre, et il n’est pas rare de voir la shattuckite se développer sur ou avec des veines de malachite, formant des intercroissances visuellement spectaculaires.
L’azurite, autre carbonate de cuivre basique, est également courante dans ces assemblages. Avec sa cristallisation orthorhombique et sa teinte bleu profond, elle apparaît souvent dans les cavités fracturées des mêmes matrices que la shattuckite, notamment dans les gisements secondaires bien ventilés.
Le dioptase, un silicate de cuivre de teinte vert émeraude éclatante (CuSiO₃·H₂O), bien plus rare, partage aussi ces environnements oxydés, bien que sa cristallisation rhomboédrique le distingue visuellement.
Il peut se former à proximité de la shattuckite dans des cavités où la silice et le cuivre interagissent à température modérée, souvent dans une gangue de quartz. Enfin, la cuprite, oxyde de cuivre rouge profond (Cu₂O), se manifeste dans les zones d’oxydation avancées des filons cuprifères.
Dense, métallique et très brillante, elle peut parfois être trouvée dans les mêmes niveaux géologiques que la shattuckite, bien qu’elle signale généralement une phase de minéralisation plus ancienne ou plus intense en cuivre natif.
Ces minéraux coexistent dans des gisements polymétalliques comme ceux de la province du Katanga en République Démocratique du Congo, qui reste l’un des terroirs géologiques les plus riches au monde pour ce type d’assemblage.
L’ensemble constitue un paragenèse typique des altérations cuprifères secondaires, souvent enchâssée dans des matrices de quartz, de calcite ou de limonite.
Pour les minéralogistes comme pour les collectionneurs, ces associations offrent non seulement une diversité visuelle et structurale remarquable, mais aussi des indices précieux sur les conditions physico-chimiques de formation et d’évolution des gisements.
Le résultat est souvent un chef-d’œuvre géologique : une mosaïque naturelle de bleus profonds, de verts intenses et de textures soyeuses, parfois combinée à du quartz.
Propriété |
Valeur |
---|---|
Formule chimique |
Cu₅(SiO₃)₄(OH)₂ |
Classe |
Silicate – groupe des inosilicates |
Système cristallin |
Orthorhombique |
Dureté (échelle de Mohs) |
3,5 à 4 |
Densité |
3,8 à 4 |
Couleur |
Bleu clair à bleu foncé |
Éclat |
Soyeux à mat |
Transparence |
Translucide à opaque |
La shattuckite est un inosilicate de cuivre qui se forme dans des conditions d’altération secondaires, principalement dans les gisements de cuivre oxydés.
Sa structure cristalline fibreuse en fait un minéral très sensible aux altérations mécaniques, ce qui explique pourquoi elle est rarement taillée en gemmes, mais souvent utilisée en cabochons ou pierres roulées.
Visuellement, la shattuckite est souvent confondue avec la chrysocolle, surtout quand elle est mêlée à d’autres minéraux. Pourtant, elles diffèrent par leur composition chimique et leur densité. La shattuckite est plus dense, légèrement plus dure et possède une teinte bleu outremer plus saturée.
Petite astuce pour les reconnaître : la chrysocolle a souvent un éclat cireux, là où la shattuckite possède une luminosité veloutée et parfois nacrée.
La région du Katanga, au sud-est du Congo, est célèbre pour ses gisements de cuivre, de cobalt et… de minéraux secondaires exceptionnels. C’est là que l’on trouve certaines des plus belles shattuckites du monde, souvent encroutées de quartz ou mêlées à la malachite.
Les conditions géologiques y sont idéales : altération climatique, présence d’eau, cuivre natif abondant. Cette combinaison donne naissance à des pierres d’une qualité unique, très prisées par les collectionneurs et les amateurs de lithothérapie.
Utilisée en lithothérapie pour son lien avec la gorge et le troisième œil, la shattuckite est considérée comme une pierre de communication authentique, de canalisation spirituelle et de purification vibratoire.
Encourage l’expression sincère
Libère les blocages émotionnels liés à la parole
Favorise la compréhension des émotions
Aiguise l’intuition et la perception fine
Favorise la lucidité dans les décisions importantes
Développe la concentration lors des pratiques méditatives
Connecte aux guides spirituels
Ouvre la voie de la canalisation
Facilite la lecture intuitive (tarot, pendule, etc.)
La shattuckite est très utilisée par les magnétiseurs, les médiums, les coachs de vie et même certains artistes de scène. Elle facilite la communication fluide, authentique, dénuée de peur ou d’auto-censure.
Elle est également réputée pour purifier les corps subtils, éliminer les “parasites énergétiques” et favoriser un ancrage spirituel fort.
Le quartz amplifie la vibration de la shattuckite. En duo, ils forment un bouclier d’énergie pure, idéal pour les lieux de soin ou les cabinets de thérapie.
Un duo typiquement congolais ! La malachite agit comme catalyseur émotionnel tandis que la shattuckite vient guider la parole et élever la conscience.
La célestine intensifie la fréquence angélique de la shattuckite. Cette combinaison est recommandée pour les séances de contact avec l’au-delà ou de guidance spirituelle.
La pierre est souvent décrite comme un canal énergétique entre le cœur, la gorge et le troisième œil. Elle permet d’aligner la parole avec l’intuition et favorise l’expression des vérités intérieures.
Ce n’est pas une pierre “douce” au sens classique : elle agit avec intensité, souvent rapidement, et pousse à la clarté intérieure.
La shattuckite est parfois phosphorescente sous lumière UV, selon les inclusions présentes.
Elle aurait été utilisée dans certains rituels chamaniques bantous comme support de transmission de messages spirituels.
Certains tailleurs malgaches travaillent la shattuckite en micro-mosaïque, une technique artisanale inspirée de la joaillerie italienne ancienne.
En élixir (utilisation indirecte seulement), elle est utilisée pour stimuler les rêves prophétiques.
“Je travaille en tant que thérapeute énergétique et je ne peux plus me passer de la shattuckite. Elle m’aide à garder mes canaux clairs et à protéger mon espace vibratoire.”
— Sophie M., énergéticienne
“J’ai toujours eu du mal à m’exprimer en public. Depuis que je porte un pendentif en shattuckite, j’ai l’impression d’être plus ancrée, plus fluide dans mes propos.”
— Nina T., coach de développement personnel
“Cette pierre m’a permis de retrouver des rêves lucides. Je la place sous mon oreiller et c’est une expérience incroyable à chaque fois.”
— Mathieu G., explorateur onirique
À porter en bijou : pendentif, collier ras-de-cou, boucles d’oreilles (attention à la fragilité).
En méditation : tenue dans la main ou posée sur le chakra de la gorge ou du front.
Purification : pas d’eau ni de sel direct – privilégier l’encens, les bols tibétains ou la fleur de vie.
Rechargement : lumière lunaire ou amas de quartz.
Pierre |
Couleur |
Chakra principal |
Utilisation principale |
Dureté |
---|---|---|---|---|
Shattuckite |
Bleu foncé |
Gorge / Troisième œil |
Communication spirituelle |
3.5-4 |
Chrysocolle |
Bleu-vert |
Cœur / Gorge |
Calmer les émotions |
2-4 |
Azurite |
Bleu profond |
Troisième œil |
Clarté mentale et visions |
3.5-4 |
Lapis Lazuli |
Bleu roi |
Gorge / Troisième œil |
Vérité intérieure |
5-6 |
Célestine |
Bleu pâle |
Couronne |
Connexion aux guides |
3-3.5 |
La shattuckite du Congo est bien plus qu’un simple minéral. C’est une vibration cristallisée, un écho de la Terre et du ciel, une alliée subtile pour les temps modernes.
Elle incarne la puissance tranquille de la parole vraie, la sagesse des peuples anciens, et le souffle nouveau d’un monde plus aligné.
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