Période du Crétacé supérieur Cénomanien des Hamada Kemkem.
Provenance mines de phosphates Maroc.
Dimensions total de la pièce 7,4 cm sur 8,3 cm sur 3,8 cm.
Poids de la Vertèbre de Requin Fossile sur gangue 219 grammes.
Photos contractuelles, pièce unique.
La vertèbre de requin fossile, Otodus obliquus est une pièce remarquablement fascinante du Crétacé supérieur. Ce fossile offre un aperçu unique de la morphologie et de la biologie de l’un des plus grands prédateurs marins de l’histoire de la Terre.
Son allure imposante et sa structure osseuse fournissent des indices précieux sur le mode de vie de cette espèce éteinte, tout en suscitant l’admiration des collectionneurs et des amateurs de fossiles du monde entier.
L’animal marin Otodus obliquus, membre éminent de la famille des requins lamniformes, côtoie d’autres représentants modernes tels que le grand requin blanc. Leur réputation de prédateurs actifs et leur dentition spécifiquement adaptée à la capture de proies de grande taille sont des traits distinctifs partagés par ces espèces.
L’analyse minutieuse de la vertèbre de requin fossile d’Otodus obliquus ouvre des fenêtres sur l’évolution séculaire des requins. Les indices tirés de l’examen des dents et des vertèbres fossiles de cette espèce fournissent des éclairages précieux sur sa biologie, son régime alimentaire et ses stratégies de chasse. Les parallèles établis avec d’autres requins fossiles et contemporains enrichissent notre compréhension de la complexité de l’arbre généalogique de ces prédateurs marins.
La présence de vertèbres, de dents, voire d’empreintes de morsures sur d’autres vestiges marins suggère le rôle central d’Otodus obliquus dans l’équilibre des écosystèmes marins de son époque en tant que prédateur de premier plan. Son extinction, à l’instar de celle de plusieurs autres grands prédateurs marins, a sans doute eu des implications majeures sur la structure et la dynamique des communautés marines d’alors.
L’étude des requins préhistoriques comme la Vertèbre de Requin Fossile d’Otodus obliquus sensibilise également à l’importance cruciale de la conservation des espèces marines contemporaines. En approfondissant notre compréhension des écosystèmes du passé, nous sommes mieux outillés pour protéger et préserver les écosystèmes marins actuels, garantissant ainsi la perpétuation de la biodiversité marine pour les générations futures.
La vertèbre de requin fossile est remarquable à bien des égards, notamment grâce à leur structure unique et à leur histoire évolutionnaire fascinante. Chaque vertèbre est composée d’un corps vertébral solide et robuste, souvent doté de processus épineux et de facettes articulaires qui témoignent de la fonctionnalité complexe de la colonne vertébrale du requin.
Ces fossiles révèlent également des détails sur la taille et l’anatomie du requin préhistorique auquel ils appartenaient, offrant ainsi un aperçu précieux de la diversité des formes de vie marine qui ont peuplé les océans il y a des millions d’années. De plus, l’étude la vertèbre de requin fossile peut fournir des informations sur le comportement, la locomotion et la biologie de ces créatures marines anciennes.
Dans un contexte plus large, ces fossiles peuvent également aider à reconstruire les écosystèmes marins du passé et à comprendre les interactions complexes entre les différentes espèces. En tant que pièces maîtresses d’une collection de fossiles, la vertèbre de requin fossile représente non seulement un trésor de l’histoire naturelle, mais aussi une fenêtre sur un monde marin disparu depuis longtemps.
Les ossements fossilisés des anciennes mers de phosphate du Maroc sont comme des archives géantes de l’histoire de la vie marine. Nichés dans les riches gisements de phosphate du pays, ces fossiles révèlent une diversité étonnante de créatures qui peuplaient les océans il y a des millions d’années.
Dans les gisements de phosphate au Maroc, on trouve une grande variété de fossiles marins, notamment des poissons, des requins, des reptiles marins, des mollusques, des crustacés et parfois même des restes d’autres créatures marines comme le fossile de dent de mosasaure mais aussi la vertèbre de requin fossile.
Ces fossiles peuvent inclure des vertèbres, des dents, des coquilles, des os, des écailles et d’autres éléments anatomiques. Chaque type de fossile offre des indices précieux sur les anciens écosystèmes marins et sur l’évolution de la vie sur Terre.
Chaque découverte, qu’il s’agisse de vertèbres de poissons, de dents acérées de requins ou de coquilles délicates de mollusques, raconte une histoire unique et précieuse sur l’évolution de la vie marine et les écosystèmes anciens.
Ces vestiges fossilisés sont des fenêtres sur un monde oublié, offrant des aperçus saisissants sur la biodiversité passée et les adaptations extraordinaires des organismes marins à leur environnement.
Les recherches menées sur ces fossiles apportent des réponses fascinantes aux questions sur la vie dans les océans anciens, les changements climatiques et environnementaux, ainsi que sur les interactions entre les différentes espèces marines. Chaque nouvel ossement découvert est une pièce supplémentaire du puzzle de l’évolution, contribuant à élargir notre compréhension de la vie sur Terre au fil du temps.
En tant que témoins silencieux d’un passé lointain, les ossements fossilisés du Maroc attirent l’attention et la curiosité des chercheurs, des passionnés de paléontologie et des amateurs du monde entier. Leur valeur scientifique et leur pouvoir évocateur en font des trésors précieux, inspirant la fascination et l’émerveillement pour les mystères de la vie marine ancestrale.
Les principaux gisements de phosphate au Maroc se situent dans des zones stratégiques telles que Ouled Abdoune près de Khouribga, Gantour près de Youssoufia, Meskala entre Marrakech et Essaouira, et Boukraa dans la région de Laâyoune, Boujdour – Sakia el Hamra. Ces sites regorgent de fossiles marins, révélant l’évolution et les anciens écosystèmes marins.
Ces gisements de phosphate se sont formés dans des conditions spécifiques : le phosphate réagit avec l’acide chlorhydrique (HCl), produisant du CO2 et indiquant la présence de carbonate de calcium (CaCO3). Il résiste au verre, suggérant la présence de quartz (SiO2). Les analyses chimiques révèlent une richesse en phosphore.
À travers des observations minutieuses à la loupe binoculaire, on découvre des restes organiques tels que les tests de foraminifères, des fossiles comme cette vertèbre de requin fossile, des ossements de mosasaure, ainsi que des dents de requins dans le phosphate.
La détermination des conditions de sédimentation révèle des détails fascinants, les foraminifères indiquent des mers chaudes et peu profondes, les variations de CO2 et de température influent sur la précipitation du carbonate de calcium.
La solubilité de la silice augmente avec la profondeur, soulignant des eaux peu profondes. Le phosphore provient principalement des apatites, présentes dans diverses roches. Le phosphate se dépose dans les mers chaudes et peu profondes grâce à l’upwelling et à la diminution de la solubilité du CO2.
La sédimentation des phosphates, commençant au Crétacé supérieur et se poursuivant jusqu’à l’Éocène, est le résultat de déformations tectoniques. Ces processus ont favorisé la formation des gisements ou l’on peut trouver la Vertèbre de Requin Fossile, contribuant à la création du faciès phosphaté dans des conditions subtropicales transgressives.
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