Poids de cette encrine fossile 233 grammes.
Taille avec gangue 10,1 cm sur 11,3 cm sur 6 cm.
Taille de l’animal 7,5 cm sur 4,2 cm sur 3,4 cm
Une superbe reproduction d’encrine fossile en résine de grande qualité, pièce reproduite au micron près.
Photos contractuelles.
Un certain nombre de choses viennent décider du sort de des restes d’un animal.
La première condition est la profondeur du lieu ou il ce trouve.
Si le reste de l’animal n’est pas tombé assez profond, il peut remonter à la surface et à ce moment la, les os sont alors dispersés, il n’y alors pas de fossilisation possible.
En revanche, en laissant passer le temps patiemment, en quelques millions d’années, le cadavre va ce voir recouvert de nombreuses couches de sédiments, son environnement chimique se modifie.
C’est alors le poids et la pression des éléments qui augmentent, si une nappe phréatique riche en sel minéraux s’infiltre dans les pores des parties dures du cadavre (os ou carapaces), les reste de l’animal subissent alors une large transformation chimique.
Les os de l’animal, se change alors en pierre, un fossile enfin naît. Cette étrange alchimie qui a permis cette transformation se nomme “la fossilisation” ou la “pétrification”. Un fossile a vue le jour, mais il ce trouve loin, très loin sous la terre, il est en principe inaccessible pour les chercheurs archéologues.
Voici la deuxième condition, pour avoir une fossilisation, si le fossile continue de s’enfoncer dans le sol, il est recouvert par les couches successives de sédiments, la chaleur et la pression des profondeurs finissent par le détruire.
Dans ce cas d figure il n’y a plus de fossile. Cependant, si au gré des mouvements géologiques, le fossile remonte doucement en surface, il peut alors se découvrir et se révéler comme une trouvaille miraculeuse pour un archéologue ou un amateur en quête de traces de la vie passée.
Ce fossile impressionnant nous vient d’Australie occidental, cette reproduction résine du fossile originel représente avec exactitude tout les détails de cet animal marin.
Cette encrine fossile vivait dans les océans du Permien il a y environ 280 millions d’années.
Ces types de crinoïdes Jimbacrinus sont très difficiles à acquérir en raison des restrictions australiennes sur l’exportation de combustibles fossiles et ce spécimen dont fait partie cette encrine fossile.
Certain spécimens ont été légalement exportés avec leurs permission, ce qui permet d’avoir quelques rare exemplaires sur le marché.
L’Austalie dispose de ressource mineure de valeur, avec l’opale et les fossiles.
Les crinoïdes de Jimbacrinus dont fait parti cette encrine fossile, vivaient sur le fond marin du Permien.
Ces animaux marins vivaient une vie plutôt tranquille attachée sur des roches dans les fond marin, filtrant et se nourrissant de tout le plancton qui y dérivaient.
Tous les crinoïdes de cette espèce ont le même plan corporel de base. Une tige, une attache longue et flexible qui permet au crinoïde de s’ancrer au fond marin.
Leur corps principal, appelé calice, ressemble à une sphère difforme elle est composé de très petites plaques de calcite qui leur permettent de maintenir avec rigidité.
Le calice est l’endroit où se trouvaient les principaux organes de l’animal, y compris l’anus et la bouche de la bête.
Les bras de l’encrine fossile s’étendent au dessus du calice, chaque bras était bordé de pinnules en forme de plumes qu’ils utilisaient pour filtrer l’eau de l’océan à la recherche de petites particules et de petits détritus.
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