Un bijou Artisanal, Unique et Inédit de très belle facture, composé de 29 cabochons en labradorite naturelle.
Longueur du collier en labradorite : 51 cm.
Taille des pierres variable de : 2,4 cm sur 1,7 cm pour la pierre centrale et de 1,3 cm sur 1 cm pour les pierres secondaires.
Poids du collier en Labradorite : 79 grammes.
Matière : Laiton plaqué Argent.
Il y a des minéraux qui traversent le regard comme un éclat furtif, et d’autres qui s’installent dans le silence du cœur, résonnant comme un chant ancien. La labradorite appartient à cette seconde famille. Née dans les entrailles glacées du nord, là où la roche et la lumière semblent lutter en permanence, cette pierre fascine par ses reflets changeants, presque surnaturels. Un collier en labradorite, ce n’est pas un simple ornement : c’est une présence.
Sa surface semble vivante, mouvante, pareille à un ciel d’hiver percé par une aurore boréale. À la fois sombre et iridescente, elle capte les rayons du jour et les restitue à sa manière : éclats bleutés, flammes dorées, soupirs verts ou éclairs cuivrés. Chaque pierre est unique, chaque reflet est un murmure que seule la lumière peut réveiller. Ce qui attire d’abord, c’est sa beauté. Ce qui captive ensuite, c’est son mystère.
La labradorite doit son nom à une région rude et minérale du Canada : le Labrador. C’est là, au XVIIIe siècle, qu’elle aurait été découverte par des missionnaires européens fascinés par ses couleurs spectrales. Les peuples autochtones, eux, la connaissaient depuis toujours. Dans leurs légendes, on raconte que les aurores boréales étaient jadis prisonnières de la roche, et qu’un guerrier, frappant la pierre de sa lance, libéra les lumières célestes – ne laissant que quelques fragments enchâssés dans le sol.
Aujourd’hui encore, que l’on porte un collier en labradorite du Canada, de Madagascar ou de Finlande, ce mythe semble toujours vibrer sous la surface polie. Chaque bijou est une parcelle de ce monde ancien, un morceau de lumière fossilisée. Mais au-delà de sa provenance, c’est la nature même de la pierre qui intrigue : ce jeu d’irisation appelé labradorescence, qui donne à la gemme son allure féerique, n’est autre qu’une diffraction complexe de la lumière entre les couches minérales.
Porter un collier en labradorite, c’est bien plus qu’ajouter une touche esthétique à une tenue. C’est s’entourer d’une énergie subtile, dense et protectrice. Nombreux sont ceux qui considèrent cette pierre comme une véritable armure énergétique, un bouclier invisible face aux tensions extérieures. En lithothérapie, on lui prête une fonction de filtre : elle absorberait les énergies négatives, les pensées envahissantes, les influences toxiques.
Ce rôle de gardienne silencieuse est souvent associé au chakra du troisième œil, centre de l’intuition et de la perception intérieure. Posée au creux du cou, dans l’écrin de la gorge ou sur la poitrine, la labradorite entre en résonance avec la voix, la respiration, l’être profond. Elle protège, oui mais elle révèle aussi. Elle nous invite à entrer en nous-mêmes, à regarder sans crainte les mouvements de notre esprit, à accepter nos intuitions comme des vérités sensibles.
Le collier en labradorite a cette capacité rare de traverser les styles sans jamais perdre son identité. Il peut se faire discret, avec une pierre taillée en goutte ou en galet lisse, suspendue à une chaîne fine en argent. Il peut aussi s’imposer comme une pièce centrale, avec une labradorite brute enchâssée dans un sertissage audacieux, encadrée d’autres pierres ou d’éléments sculptés.
Son éclat n’est jamais criard. Il est profond, parfois timide, parfois flamboyant, selon la lumière et l’angle du regard. C’est un bijou qui ne se livre pas tout de suite, qui demande à être apprivoisé. Mais une fois porté, il devient presque impossible de s’en détacher. On y revient sans cesse, comme à un objet familier qui parle en silence à notre sensibilité.
Dans les créations les plus contemporaines, la labradorite se marie à merveille avec d’autres matières : bois fossilisé, cuir naturel, or rose ou titane brossé. Chaque collier devient alors un pont entre la nature et le geste humain, entre la force de la terre et l’élan de la main créatrice.
Ce qui frappe, dans un collier en labradorite, c’est cette capacité qu’a la pierre à changer de visage selon le moment. Reflets turquoise au matin, éclats argentés à midi, profondeur charbon le soir venu. Cette métamorphose perpétuelle fait écho à notre propre complexité intérieure. Nous aussi, nous sommes faits de nuances, de contradictions, de couches superposées.
La labradorite nous rappelle que rien n’est figé. Que notre lumière peut surgir là où on ne l’attend pas. Que notre force n’est jamais totalement visible, mais toujours présente. C’est une pierre pour les chercheurs d’équilibre, pour ceux qui avancent sans renier l’ombre, pour ceux qui sentent que la beauté n’est pas lisse mais vibrante.
Dans certaines traditions, on dit qu’elle favorise les rêves lucides, la connexion avec les mondes subtils, voire le souvenir de vies antérieures. Sans entrer dans le mystique, on peut reconnaître dans cette pierre un lien direct avec l’imaginaire, l’intuition, l’élan de l’âme. Le collier en labradorite devient alors un rappel discret : celui que notre vérité se cache parfois dans l’indicible.
Il n’y a pas deux labradorites identiques. C’est peut-être ce qui rend le choix d’un collier si intime. Certains seront attirés par une teinte dominante – bleu profond, vert forêt, doré incandescent – d’autres chercheront une forme particulière : cabochon, triangle poli, pointe naturelle. Mais souvent, ce n’est pas nous qui choisissons : c’est la pierre qui nous appelle.
Il suffit d’un éclat, d’un reflet capté au bon moment, pour que l’évidence s’impose. Cette labradorite-là, c’est la mienne. Elle entre en résonance avec une émotion, un souvenir, un besoin que l’on ne formule même pas. Et le collier, dès lors, devient plus qu’un bijou : il devient compagnon, témoin, ancre.
Offrir une labradorite, c’est offrir une force tranquille. Que ce soit pour un anniversaire, une période de transition, une naissance ou un simple signe d’affection, ce bijou véhicule un message fort : “Je te souhaite protection, clarté, et beauté intérieure.” Ce n’est pas un cadeau neutre c’est un souhait vibrant.
Et c’est peut-être là que réside toute la puissance de ce collier : dans sa capacité à porter une intention. Chaque fois qu’il est passé autour du cou, il rappelle cette intention, la ranime, la nourrit. Il devient une mémoire vivante du lien qui unit celui qui l’a offert à celui qui le porte.
Comme toutes les pierres naturelles, la labradorite mérite attention et respect. Elle absorbe les énergies, et il est bon de la purifier régulièrement : un passage sous l’eau claire, une nuit à la lumière de la lune, ou une fumigation à la sauge suffisent à la régénérer. Évitez les expositions prolongées au soleil direct, qui pourraient altérer ses reflets.
Le collier en labradorite, en particulier, bénéficie de ce soin : en étant en contact avec la peau, il interagit plus directement avec nos émotions. Le nettoyer, c’est aussi se nettoyer soi-même, c’est prolonger la magie du lien établi.
Porter un collier en labradorite, c’est faire le choix d’un bijou qui va bien au-delà de l’esthétique. C’est porter un fragment d’univers, une parcelle de nuit étoilée, un souffle d’intuition minérale. C’est accepter que la beauté puisse être changeante, que la lumière ait parfois besoin d’ombre pour jaillir.
Chaque collier raconte une histoire, non seulement celle de la Terre qui l’a vu naître, mais aussi celle de la personne qui le porte. Dans une époque où tout va vite, où l’authenticité se perd, la labradorite nous ramène à l’essentiel : une pierre, une lumière, une vérité intérieure.
Suivez nous sur notre page Facebook, Instagram et TikTok pour voir tous nos nouveaux produits…
AVERTISSEMENT : Les propriétés, modes et indications d’utilisation citées sont issues des ouvrages ou sites Internet de référence. Ces informations sont données à titre informatif. Elles ne sauraient en aucun cas constituer une information médicale, ni engager notre responsabilité.